Principes de notre méthodologie
- Le corps base fondamentale de notre travail.
Le corps sera le premier élément sur lequel notre méthode s’appuie en tenant compte de toute sa complexité.
Peu importe la discipline sportive pratiquée nous aurons une activité qui sera basée sur l’utilisation ciblée de l’ensemble des muscles striés de l’organisme, dans le respect de l’architecture biomécanique. Pour cela, l’anatomie, la physiologie et la psychologie seront des composantes essentielles de nos interventions.
- Séance spécifique :
Lorsqu’une personne se présente à nos séances nous n’oublions pas que nous accueillons un être unique sous différents critères et qu’il est le reflet de son vécu.
Nous veillons donc par différents moyens à obtenir un maximum de données (socio-professionnelles, psychologie, vécu sportif, morphologie…) afin d’augmenter la sécurisation de nos cours mais également de les rendre le plus spécifique possible.
Cela permet la mise en place de contenus qui répondent aux besoins de l’ensemble des membres du groupe et de ne pas noyer la notion d’individualité dans de celle du collectif.
- Suivi de l’adhérent
Afin de pouvoir répondre de manière ciblée et spécifique aux besoins de chacun. ASSIR’M a mis en place un protocole « suivi thérapie sportive ».
Ce suivi est constitué de différentes étapes, la première étant le bilan de début de cycle, la seconde d’un (ou plusieurs) bilan de milieu de cycle et enfin le bilan de fin de cycle.
Afin d’obtenir plus d’information sur le « suivi thérapie sportive » veuillez cliquer sur le lien suivant : http://www.assirm.fr/index.php/suivi/
- Progressivité : corps & engins
L’organisme répond aux contraintes qu’il subit par une grande adaptabilité. Lorsque ses contraintes sont limitées il y a un phénomène de stagnation des qualités physiques qui apparaît voir un désentraînement.
Cette limite des variables et des contraintes va avoir un impact sur l’intensité et la diversité des stimuli à plusieurs niveaux :
- musculaires
- neuromusculaires
- proprioceptif
- cognitif
Afin d’y remédier, l’utilisation d’outils semble essentielle avec une logique de progressivité. Ainsi la variabilité des contraintes imposées par l’engin apportera une diversité des stimuli.
L’engin peut aller de la simple pente sur laquelle nous effectuons un travail de course au swiss ball en passant par l’ergocycle. Il n’y a pas de limite à ce niveau si ce n’est l’imagination de nos intervenants.